Date de sortie française: 1997
Éditeur: Sierra
Genre: Aventure
Supports: PC/Mac

Aujourd'hui dénigré par une énorme majorité des joueurs, aussi bien Pcéistes que consoleux, le genre point'n click/aventure fut durant le milieu des années 90 le genre où la course à la technologie était la plus flagrante, avec l'arrivée du FMV (Full Motion Video). La preuve avec un jeu issu de l'imagination bien tordue de Loreilei Shannon : Phantasmagoria 2 : Obsessions Fatales.

Date de sortie française : 27 Avril 1995

Editeur : DMA Design

Genre : Course

Support : Super Nintendo

La Super Nintendo étant une machine à hits, cela ne l’empêche pas de voir débarquer quelques OVNIs bien barrés, pleins d’humour, et surtout, bien réalisés.
Les jeux de courses ne sont pas en reste, avec notamment Rock’n’Roll Racing ou Micro Machines, mais parlons aujourd’hui d’un petit frère méconnu…

Date de sortie française : fin 1994 (29 septembre 1994 au Japon)

Editeur : Bandai

Genre : Versus Fighting

Support : Super Nintendo

Fort de son succès en France, la licence Dragon Ball nous propose le 3eme épisode de la saga Butôden sur Super Nintendo, arrivé un an après son ainé. DBZ 3 : UM vous propose donc de retrouver une partie de l’arc Majin Boo.

Date de sortie française : 30 novembre 1993
Editeur : Bandai
Genre : Jeu de combat
Support : Super NES

Dragon Ball Z, énorme manga shonen à succès, a démocratisé chez nous ce cousin nippon de la BD.

A son apogée grâce à la diffusion du dessin animée dans le Club Dorothée, voici le premier opus d’une longue série de jeux de combat ! Prêt à retrouver votre jeunesse ? C’est parti !

Date de sortie : 15 février 1987 [France]
Editeur : Nintendo
Genre : Hybride
Support : NES

C'est un retro test assez spécial aujourd'hui avec l'illustre Kid Icarus. Pit a repris du service durant quelques heures, le temps d'un retro test.

Redécouverte d'un jeu que j'avais occulté et qui pourtant, a surement apporté un grand bol d'air frais aux jeux vidéo, par une idée simple et pourtant révolutionnaire : mélanger les genres. Son concepteur, Satoru Okada était-il un simple réalisateur, ou un véritable visionnaire ? Telle est la question que je me pose après un come back rapide sur cette merveille longtemps boudée par la firme.